L'essence de la pauvreté réside dans le fait qu'une personne est contrainte de travailler pour obtenir le nécessaire à sa survie à court terme, ne laissant ni temps ni énergie pour étudier ou envisager des objectifs à plus long terme. Seul un faible pourcentage de personnes parvient à s'en libérer ; la grande majorité est incapable d'échapper à ce cercle vicieux de survie. Dans son livre « La rareté », Sadhill Mullainathan, professeur à l'université Harvard, soutient que l'aspect le plus terrifiant de la pauvreté n'est pas le manque d'argent, mais sa capacité à monopoliser de force la bande passante de votre cerveau. Lorsqu'une personne est angoissée par le loyer de demain ou le dîner de ce soir, sa vision se rétrécit considérablement. Elle ne voit plus que les choses les plus urgentes du moment (terminer ce travail et gagner ces quelques dizaines de dollars). Dans cet état, les individus n'ont pas la capacité mentale nécessaire pour envisager des projets à long terme (comme améliorer leurs études ou acquérir de nouvelles compétences). Ce n'est pas par stupidité, mais parce que la pression de la survie a épuisé toutes leurs ressources cognitives. Une fois que nous sommes tombés dans cet état, il est très difficile d'en sortir par la seule force de volonté. À ma place, je m'obligerais probablement à ne pas m'épuiser et à me reposer, par exemple en quittant le travail à 18 heures et en consacrant au moins deux heures par jour à mes études. Je me créerais artificiellement du temps libre. Lien de téléchargement : https://t.co/8vawx5DCC1 Suivez-moi et je partagerai régulièrement du contenu de qualité pour améliorer vos capacités cognitives. Je vous offre un soutien moral précieux, mais je suis aussi une blogueuse spécialisée dans l'apprentissage, et j'apprends avec vous pour vous aider à surmonter les difficultés de la vie.
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