Bien que Claude Opus 4.5 soit puissant, le framework Claude Code est essentiel – Impressions de Yam Peleg après avoir utilisé Claude Opus 4.5 Points clés : Excellent modèle, mais c’est le framework qui constitue la véritable révolution. Positionnement d’Opus 4.5 : Peleg estime qu’Opus n’est pas une solution universelle, mais qu’il excelle dans la plupart des tâches de programmation quotidiennes. Avec OpenAI Codex-Max et Google Gemini-3, il possède ses propres atouts ; leurs performances sont similaires, mais leurs approches sont très différentes. • Gemini-3 : Imbattable en matière de recherche sur Internet (l’outil de recherche Google intégré surpasse la recherche native des autres modèles, avec Perplexity comme alternative). Codex-Max : le choix par excellence pour la recherche universitaire, offrant une efficacité accrue dans le traitement et l'analyse de documents complexes. Opus 4.5 : Extrêmement polyvalent, notamment pour les tâches de codage et d’agents, il « donne l’impression d’être le meilleur ». Peleg a développé une « intuition » : changer de modèle en fonction de la tâche. • Les points forts de Claude Code : il offre le contrôle du navigateur, la gestion des fichiers de configuration, la collaboration entre sous-agents et l’exécution automatisée, permettant à Opus de dépasser le simple statut d’« outil de programmation » et de devenir un « agent intelligent pleinement utilisable par ordinateur ». Peleg avait auparavant créé une version dérivée personnalisée, mais celle-ci peut désormais être hautement personnalisée grâce au SDK Agent sans modifier le code source. Même avec le modèle Sonnet, relativement limité à ses débuts, ce framework était indispensable ; aujourd’hui, associé à Opus, il est « inégalé ». • Avantages : Prend en charge les tâches « envoyer et oublier » (telles que l'exécution de scripts complexes en arrière-plan) et gère le traitement parallèle de plusieurs sous-agents. Points faibles : Il subsiste des bugs, comme la possibilité que les 256 Go de RAM soient saturés en cas de forte charge de plusieurs agents, ce qui peut entraîner un plantage du système. • Comparé à d'autres outils : Opus + Claude Code s'apparente à un « assistant tout-en-un », tandis que Codex ou Gemini sont plutôt des « encodeurs professionnels ». L'auteur ne se soucie pas du fait que Claude Code ne soit pas open source, car sa flexibilité est suffisante. Le flux de travail de codage IA de Peleg comprend des conseils pratiques : Peleg a intégré LLM dans ses opérations quotidiennes d’ici 2025, mais conserve un noyau dominant : • Tâches complexes : Entièrement manuelles (plus rapides, plus précises), sans délégation. • Niveau de difficulté faible à moyen : le code est décomposé en petits modules et délégué à des agents intelligents, avec une supervision et une édition strictes du résultat. Le style de code généré par l’IA a été considérablement amélioré, et de nombreuses modifications ponctuelles ne nécessitent aucune modification. • Planification et architecture : Gardez toujours le contrôle de vous-même et ne sous-traitez jamais. Peleg est passé d'une « absence totale d'utilisation pendant un an » à une « dépendance quotidienne », mais a mis l'accent sur la « microgestion » plutôt que sur un « codage d'ambiance » aléatoire. Pourquoi est-ce important ? Cela reflète également une évolution subtile de l'écosystème de l'IA en 2025 : une concurrence féroce pour les modèles, mais les frameworks d'agents (tels que Claude Code) décuplent la productivité. Cela traduit l'évolution des développeurs, qui passent d'« utilisateurs d'outils » à « collaborateurs d'agents », notamment dans le domaine du codage et de l'automatisation.
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