Le @WhitePapersPol vient de publier un livre blanc extrêmement fascinant écrit par Alden Whitfeld, intitulé « L'Amérique ne peut pas externaliser son avenir », qui déconstruit de manière exhaustive le mythe de l'immigration hautement qualifiée ! Le message principal est simple : Une nation sérieuse investit dans sa population, et non dans des remplaçants étrangers. L'idée que les États-Unis manquent d'Américains talentueux et doivent recruter des étrangers pour « sauver » le pays est manifestement fausse. Pour connaître les faits essentiels, consultez ce fil de discussion 👇🏻
1/6 Le mythe de « l'immigration hautement qualifiée » comme nécessité pour « sauver » les États-Unis est faux. L'affirmation du président Trump selon laquelle les États-Unis manquent de talents et ont besoin de recruter à l'étranger ne résiste pas à l'analyse. Une nation sérieuse investit dans son propre peuple, et non dans des remplaçants étrangers.
2/6 Les défenseurs de l'immigration hautement qualifiée plaident souvent en faveur de cette dernière en se basant sur le niveau d'instruction. Cependant, l'instruction n'est pas un indicateur de compétences aussi fiable pour les immigrants que pour les natifs. Les immigrants ayant le même niveau d'instruction obtiennent des résultats nettement inférieurs aux tests d'alphabétisation, de calcul et d'informatique. Sélectionner des immigrants uniquement sur la base de leur « haut niveau d'instruction » a souvent un effet contre-productif, car cela ne fait qu'accroître le nombre de travailleurs peu qualifiés.
3/6 Le système de visas H-1B est inefficace pour identifier les « meilleurs talents ». Une analyse des données de l’USCIS (2000-2023) montre : - L'Inde et la Chine représentent environ 72 % des bénéficiaires de visas H-1B, mais sont fortement sous-représentées dans les indicateurs d'innovation. Le Royaume-Uni, la France et le Canada représentent moins de 6 % mais sont fortement surreprésentés en matière d'innovation. L'innovation est systématiquement orientée vers les immigrants européens et anglophones, et non vers les groupes qui délivrent la majeure partie des visas.
4/6 De plus, l'importation de « talents » nuit activement aux intérêts nationaux en facilitant le transfert de technologies. Au lieu d'aider les États-Unis à « battre la Chine », l'immigration accélère le rétrécissement de l'écart technologique. Des enquêtes menées dans la Silicon Valley montrent que 82 % des scientifiques et ingénieurs immigrants chinois et indiens déclarent échanger des informations techniques avec leurs pays respectifs.
5/6 On s’attend également à ce que les immigrants hautement qualifiés fassent preuve d’une plus grande persévérance dans leurs attitudes politiques et puissent exercer une influence politique disproportionnée. Modifier la composition de l'élite en y intégrant des immigrants hostiles aux intérêts de la nation est bien plus dangereux que d'accroître l'immigration peu qualifiée, car les préférences des plus aisés l'emportent systématiquement sur celles des citoyens ordinaires.
6/6 Dernière réflexion : Les données sont sans équivoque : miser sur l’« immigration hautement qualifiée » n’est pas une stratégie de puissance nationale, mais une solution de facilité qui ne fera qu’accélérer le déclin du pays. Je vous recommande vivement de suivre @whitepaperspolicy.org/issue/america-…nsulter https://t.co/gyCC2ljhiK pour lire le livre blanc complet et obtenir une perspective plus approfondie sur le sujet !





