Un autre événement du LLM de l'UE me confirme que, même avec les meilleurs chercheurs du monde, rien ne changera tant que le secteur privé européen ne se sera pas lui aussi investi dans les technologies et l'IA. On ne peut pas forcer les motivations naturelles.
Les attentes actuelles concernant la recherche publique européenne ne sont pas viables, que ce soit en termes de puissance de calcul, d'impact ou d'efforts d'ingénierie. Un niveau de comparaison pertinent serait plus proche de celui d'Allen AI ou de BAAI : des objectifs ambitieux mais atteignables. Il ne s'agit pas de remplacer la R&D privée, qui n'existe pas.