Je constate beaucoup de confusion ici. Je tiens à ce que ce soit parfaitement clair pour tout le monde. L'intelligence artificielle, quel que soit le nom qu'on lui donne, nous surpassera bientôt : une intelligence plus performante, moins coûteuse et à la capacité d'adaptation infinie. Ce n'est plus une question de « si », mais de « quand », et cet horizon est bien plus proche qu'on ne le pense. Les portes sont déjà ouvertes. Les agents autonomes, construits à partir de modèles complexes, redéfinissent le travail, la cognition et le contrôle. Ils deviennent chaque jour plus performants, plus grands, plus fiables et plus puissants. Toutes les grandes entreprises technologiques investissent des dizaines de milliards dans l'infrastructure de l'IA, construisant non seulement des centres de données sur Terre, mais se préparant également à les déployer en orbite basse. Voilà l'ampleur des ambitions auxquelles nous sommes confrontés. Et je ne parle même pas des spéculations sur l'« intelligence artificielle générale » ou la « superintelligence artificielle ». Un agent spécialisé remplacera un développeur, un analyste ou un comptable en moins d'une décennie, et la situation s'améliore de semaine en semaine. Il ne s'agit pas de pessimisme. Je travaille dans ce domaine au sein de ma propre start-up. J'ai déposé des brevets dans ce domaine. Je souhaite que l'IA aide l'humanité de manières que nous pouvons à peine imaginer. Mais… Cessez de déplorer les bouleversements, concevez l'architecture qui protège l'humanité. Transformer l'IA d'un scalaire d'accélération en un vecteur de direction avec accélération. L'ascension de l'IA est inévitable. Ce qui reste incertain, c'est si nous restons aux commandes. Pour l'instant, cette décision nous appartient toujours.
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