Voici les sept qu'il a identifiés : 1. Assurance-vie permanente [02:26] Cela inclut des variantes comme l'assurance-vie entière, l'assurance-vie universelle et l'assurance-vie à capital variable. L'orateur affirme que ces produits sont un « piège financier » [03:17], citant les commissions élevées des agents [03:29], les nombreux frais cachés et les rendements extrêmement faibles. Il oppose cela à la souscription d'une assurance-vie temporaire bon marché pour se protéger et à l'investissement de la différence en bourse, ce qui aurait donné des résultats bien supérieurs [05:06]. 2. Immobilier d'investissement [09:18] Sans faire référence à une résidence principale, l'intervenant considère les immeubles locatifs et les bâtiments commerciaux comme un « piège déguisé en opportunité » [14:21]. Il souligne les coûts de transaction élevés (à l'achat comme à la vente) [10:14], les charges importantes (taxes, assurances, entretien) [10:44], le manque de liquidités [11:48] et les risques liés à l'effet de levier, qui peut amplifier les pertes aussi facilement que les gains [12:29]. 3. L’or et les métaux précieux [16:10] L’orateur qualifie l’or d’« investissement irrationnel » [16:26] qui relève fondamentalement de la spéculation et non de l’investissement. Il soutient que l’or n’est pas un actif productif : il ne génère aucun flux de trésorerie et ne crée aucune valeur [16:19]. Bien que les partisans de l’or le présentent comme une protection contre l’inflation ou les crises [16:42], ses rendements à long terme sont largement inférieurs à ceux des entreprises productives (actions) [17:25]. 4. Fonds à gestion active [22:18] Cette catégorie comprend les fonds communs de placement à gestion active, les fonds spéculatifs et les fonds de capital-investissement. L'intervenant souligne que les frais élevés (souvent de 1 à 2 % par an, auxquels s'ajoutent les commissions de performance) constituent le principal problème [22:29]. Il affirme que sur le long terme, 95 à 98 % des gestionnaires de fonds actifs ne parviennent pas à surperformer leur indice de référence après déduction des frais [23:55]. Il soutient que ces frais cumulatifs transfèrent le patrimoine intergénérationnel de l'investisseur au secteur des services financiers [28:19]. 5. Cryptomonnaies [29:12] L'orateur critique vivement les cryptomonnaies, les qualifiant de « forme la plus pure de spéculation insensée jamais créée » [30:16]. Il soutient qu'elles ne constituent ni une monnaie (personne ne les utilise pour acheter des biens), ni une réserve de valeur (trop volatiles), ni un actif productif (absence de flux de trésorerie) [30:00]. Il compare l'engouement actuel aux bulles spéculatives du passé et estime que les jetons finiront par retrouver leur valeur intrinsèque, qu'il considère comme « proche de zéro » [35:46]. 6. Obligations individuelles [36:36] L'orateur considère les obligations (d'entreprises, municipales, du Trésor) comme une « destruction de richesse constante et prévisible » [37:08]. Le problème fondamental, explique-t-il, est qu'après prise en compte de l'inflation [37:30] et des impôts [37:42], le rendement réel des obligations est souvent négatif. Il soutient que, malgré un sentiment de sécurité lié à leur stabilité nominale, les obligations garantissent une perte de pouvoir d'achat au fil du temps [38:36]. 7. Voitures neuves [43:34] Le dernier point concerne les automobiles neuves et de luxe, souvent considérées comme des investissements alors qu'il s'agit en réalité d'actifs qui se déprécient rapidement [43:53]. L'intervenant souligne l'énorme coût d'opportunité : l'argent dépensé pour une voiture neuve aurait pu être investi et fructifier pour assurer une retraite sereine ou une indépendance financière [44:23]. Il recommande d'acheter une voiture d'occasion fiable et de la garder jusqu'à ce qu'elle soit hors d'usage [46:02].
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