Intuitivement, je n'y crois pas, mais devrais-je en douter ? C'est un nombre absurde de chercheurs. Si on inclut les ingénieurs, notamment ceux qui développent les interfaces et les serveurs pour les services d'IA… ça paraît simple, non ? Si on inclut l'annotation des données, on arrive facilement à 6 millions, soit 1 % de la population active.
Je pense qu'un taux de 1 % de la population active consacrée à l'IA représente un seuil raisonnable pour un pays en retard dans la course à l'informatique. Ce taux est de 22,33 % pour l'agriculture. Un taux de 4,5 % de la population active agricole engagé dans le développement du secteur le plus porteur semble tout à fait sensé. Ils devraient tenter l'expérience.