Ceux qui persistent à affirmer que la mécanique quantique n'a pas besoin de nombres imaginaires me semblent bien naïfs. Nous savons que des particules sans structure et dotées d'un moment angulaire fini existent. Pourquoi se compliquer la vie en exigeant que l'on décrive leur comportement uniquement à l'aide de nombres réels ?
S’agit-il de la version du XXIe siècle du fait de qualifier de « imaginaire » la racine carrée de moins un en raison de son caractère inhabituel ?