Pensées prétraitées et vérifiables. En effet, un utilisateur pourrait ne pas souhaiter un « implant cérébral » pour son IA, qui lui conférerait des compétences mais la pousserait également à promouvoir des produits (ou une idéologie) spécifiques.
Quatrièmement, cela pourrait réellement résoudre le problème de l'IA et du contenu protégé par le droit d'auteur : Si le noyau cognitif ne contient aucune représentation d'œuvres protégées par le droit d'auteur, le contrôle reviendra aux titulaires de droits. Ils pourront par exemple vendre des « cartouches » ou des licences de contenu s'ils le souhaitent.