Jusqu'à présent, j'ai écrit sur la façon dont l'écriture aide à réfléchir et à se souvenir. Il existe d'autres couches, qui n'apparaissent que lorsque vous commencez à publier. 3. Écrire pour se connecter Lorsqu'on écrit publiquement — un article, une idée, une pensée à moitié formée —, cela disparaît souvent dans la brume. Mais parfois, ça marche. Quelqu'un comprend. Il répond. Un lien se tisse entre des personnes qui, autrement, ne se seraient jamais rencontrées. L'écriture est comme un phare : c'est une façon d'attirer les membres de votre tribu, ceux qui se soucient du même coin étrange du monde que vous. « Le réseautage » n’est pas l’essentiel… écrire, c’est penser à voix haute et voir qui partage vos goûts, votre vision du monde, votre affinité. La plupart du temps, il ne se passe rien. Et c'est très bien comme ça. Mais de temps en temps, un déclic se produit entre nous, et c'est magique. Hawthorne appelait cela « ouvrir un dialogue avec le monde ». J'aime bien cette expression. L'écriture est un lien.
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