Sujet 🧵 Comment sont-ils morts ? Les Canadiens ont connu un taux de mortalité sans précédent entre 2020 et 2024. Les responsables publics insistent sur le fait que la Covid-19 en est la cause principale, mais les données gouvernementales révèlent une surestimation significative des décès liés à la Covid-19. Les confinements, les obligations vaccinales et leurs répercussions ont largement contribué à ces décès inattendus. Notre dernier rapport, « Le Canada post-Covid : L’augmentation des décès inattendus », révèle la vérité et révèle des leçons que les politiciens canadiens et le public doivent tirer. Ne manquez pas les points saillants du rapport ci-dessous. Consultez le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 1/14
Les décès inattendus ont grimpé en flèche après la COVID-19 : Les décès supérieurs à la normale, ou « surplus », étaient beaucoup plus élevés en 2022, après les confinements et la vaccination de la plupart des Canadiens contre la COVID-19, que durant les deux premières années de la COVID-19. Décès inattendus ou « surplus » au Canada par année : · 2020 : 14 950 · 2021 : 13 510 · 2022 : 31 370 (avec un taux de vaccination de 80 %) · 2023 : 13 960 (toujours élevé). Pourquoi les décès excédentaires sont-ils plus élevés après la COVID-19 et la vaccination (2022 et 2023) que durant les deux années de la COVID-19 (2020 et 2021) ? Notre dernier rapport répond à cette question. 2/14
Le nombre de décès liés à la Covid a été gonflé : Les lignes directrices pour la classification des décès liés à la Covid, créées par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en avril 2024 et adoptées par le Canada et d’autres pays du monde entier, étaient extrêmement vagues et générales, ce qui a entraîné une surestimation du nombre de décès liés à la Covid. Selon ces lignes directrices, le décès d’un patient atteint d’un cancer en phase terminale pouvait être classé comme lié à la Covid si le test de dépistage de la Covid était positif avant ou après le décès. Ces lignes directrices, trop générales, précisaient que « la COVID-19 devait être inscrite sur le certificat médical de décès de TOUS les décès dont la maladie a causé, ou est présumée avoir causé, ou contribué au décès. » Pour exclure un décès lié à la Covid, d’autres causes (comme un traumatisme) doivent être clairement établies afin de garantir que la Covid ne puisse pas avoir été un facteur causal du décès. 3/14
De nombreux décès ont été attribués à tort à la Covid : Statistique Canada a recensé 27 000 décès liés à la Covid chez les Canadiens de 65 ans et plus en 2020-2021. Cependant, au moins 10 000 de ces décès ont probablement été attribués à tort à la Covid. En 2020-2021, on n’a recensé que 17 000 décès inattendus pour ce groupe d’âge. De plus, on a recensé environ 11 000 décès de moins que la normale dus à des maladies respiratoires et pulmonaires, à des maladies vasculaires et à la démence, ainsi qu’à la maladie de Parkinson, à la maladie d’Alzheimer et à d’autres maladies dégénératives du système nerveux. Les données semblent claires : ces décès normaux et attendus ont été attribués à tort à la Covid, en raison des critères de classification des décès liés à la Covid trop larges de l’OMS. Le nombre gonflé de décès liés à la Covid a suscité une peur injustifiée de la Covid chez les Canadiens.
Les Canadiens de moins de 45 ans sont décédés à un rythme alarmant : la COVID-19 présentait peu de risques pour les jeunes Canadiens. Pourtant, à partir de 2020, le taux de mortalité chez les Canadiens de moins de 45 ans a considérablement augmenté. De 2015 à 2019, en moyenne, 245 Canadiens de moins de 45 ans sont décédés chaque semaine. Cependant, la moyenne hebdomadaire des décès a atteint 334 entre 2020 et 2024. De même, le taux de mortalité des Canadiens de moins de 45 ans est passé d’une moyenne pré-COVID de 66 à 80,3 pour 100 000 (76,7, 83,2, 80,8 et 80,4 pour 100 000 de 2020 à 2023). Au total, 10 210 Canadiens de moins de 45 ans sont décédés de plus que prévu ; seulement 728 décès ont été attribués à la COVID-19. En bref, de nombreux jeunes Canadiens supplémentaires sont morts non pas de la COVID-19, mais des confinements et d’autres politiques gouvernementales, et de leurs répercussions. Notre rapport explique comment : https://t.co/fhh9QeZiD9 5/14
Les décès par surdose ont fortement augmenté : après l’instauration du confinement, les décès par surdose ont augmenté de 55 % chez les Canadiens de moins de 65 ans, passant d’une moyenne annuelle de 4 440 décès avant le confinement (2017-2019) à une moyenne de 6 890 décès entre 2020 et 2023. Selon ces données, on estime que 9 800 Canadiens de moins de 65 ans sont morts de surdose après le confinement, comparativement aux taux de mortalité avant celui-ci. Les confinements liés à la COVID-19 ont isolé les Canadiens vulnérables de leur lieu de travail, de leur famille et de leur communauté, provoquant des taux sans précédent de dépendance aux substances et de désespoir.
Les décès liés à l'alcool ont augmenté de façon significative : les décès liés à l'alcool ont augmenté de 27 % entre 2019 et 2020 chez les Canadiens de moins de 65 ans (18 % tous âges confondus), selon Statistique Canada. Les effets d'une consommation accrue d'alcool semblent également se manifester par une augmentation des décès dus à des maladies liées à l'alcool, comme les maladies du foie. Le nombre de décès dus à des maladies du foie est passé de 2 786 en 2019 à 3 307 en 2020, avec un total d'environ 1 900 décès supérieurs à la normale ou « excédentaires » dans cette catégorie. Une étude du gouvernement fédéral a révélé que le stress, la solitude et le désespoir entraînaient une augmentation de la consommation d'alcool. 7/14
Les décès liés à la COVID-19 ont grimpé en flèche après la vaccination : Fin 2021, plus de 80 % des Canadiens étaient considérés comme « pleinement vaccinés » contre la COVID-19. Cependant, en 2022, le nombre de décès liés à la COVID-19 a atteint un sommet historique de 19 900, selon Statistique Canada. Ce chiffre est bien supérieur à celui des deux premières années de la COVID-19, avec 15 800 décès en 2020 et 14 620 en 2021. Le vaccin était-il réellement « efficace » ? Lisez par vous-même : https://t.co/fhh9QeZiD9 8/14
Les décès d'origine inconnue sont en hausse : De plus en plus de Canadiens meurent de causes inconnues. Ce problème est particulièrement marqué chez les jeunes Canadiens (moins de 45 ans). Aujourd'hui, en 2025, plus de 15 % des jeunes Canadiens décédés en 2022 (2 640 sur 17 780 décès) n'ont pas encore été identifiés comme étant la cause de leur décès. Ce phénomène n'est pas dû à un manque d'autopsies. Des autopsies ne sont pratiquées que pour 6 % à 7 % des décès au Canada. Comment sont-ils morts, selon Statistique Canada ? Consultez le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 9/14
Les décès d'enfants ont augmenté, mais pas à cause de la Covid : Au Canada, les enfants étaient aussi susceptibles de mourir de la Covid que de la foudre. Pourtant, le taux de mortalité des enfants canadiens (âgés de 1 à 14 ans) a augmenté de 16 % en 2022, après que les gouvernements ont imposé des confinements et des obligations vaccinales. Le taux de mortalité chez les enfants âgés de 1 à 14 ans est passé d'une moyenne quinquennale précédente (2015-2019) de 11,8 décès pour 100 000 à 13,7 décès pour 100 000 en 2022, et est resté à 13,5 décès pour 100 000 en 2023. Parallèlement, le nombre total de décès d'enfants est passé d'une moyenne quinquennale précédente de 643 à 788 en 2022 et à 785 en 2023. Pourquoi tant d'enfants meurent-ils maintenant ? Pas à cause de la Covid. Lire le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 10/14
Les gouvernements ont pratiqué un deux poids, deux mesures flagrant entre les « décès dus à la Covid » et les « décès dus aux vaccins » : contrairement aux critères trop larges de l’OMS pour classer la Covid comme un décès – comme expliqué ci-dessus au point 3 – les lignes directrices pour attribuer les décès aux vaccins contre la Covid sont extrêmement restrictives. Même lorsque les décès surviennent peu après l’injection du vaccin contre la Covid, ils sont classés comme « indéterminés » « s’il n’y a pas suffisamment de preuves définitives » pour les relier au vaccin. De plus, les décès sont considérés comme fortuits (une « association causale incohérente avec la vaccination ») s’il existe une « affection sous-jacente », incluant non seulement les maladies physiques, mais aussi les maladies mentales. De telles décisions « fortuites » auraient été fréquentes chez les personnes âgées, qui présentent généralement plusieurs « affections sous-jacentes », aussi graves soient-elles. Comme prévu, ces lignes directrices restrictives ont généré très peu de « décès dus à la Covid ». En janvier 2024, les médecins canadiens sur le terrain avaient signalé 488 décès liés aux vaccins contre la Covid, mais seulement quatre d’entre eux ont été reconnus par les responsables de la santé publique. En bref, les critères du gouvernement pour établir les décès liés aux vaccins visent à garantir un faible nombre de « décès vaccinaux », soit l'exact opposé de leurs critères pour établir les décès liés à la COVID-19. Les gouvernements veulent faire croire aux Canadiens que la COVID-19 est mortelle et que les vaccins sont sûrs. Ils ont manipulé les définitions pour étayer un discours préétabli. Consultez le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 11/14
L'annulation des traitements médicaux entraîne une augmentation des temps d'attente et des décès : Partout au Canada, les médecins hygiénistes en chef des provinces ont annulé des centaines de milliers d'interventions chirurgicales et de rendez-vous diagnostiques pendant les confinements liés à la COVID-19. Par conséquent, les temps d'attente pour recevoir des diagnostics et des traitements médicaux ont grimpé en flèche. Le temps d'attente pour passer un examen d'IRM a augmenté de 55 %, passant de 10,4 semaines en 2015-2019 à 16,2 semaines en 2024. Le temps d'attente entre l'orientation médicale et la réception du traitement a augmenté de 43 %, passant d'un sommet de 21 semaines avant le confinement à 26 semaines en 2021, puis à 30 semaines en 2024. Aujourd'hui, de nombreux Canadiens se retrouvent avec des cancers à un stade avancé ou d'autres maladies qui auraient pu être évités grâce à un accès rapide aux soins pendant les confinements. (Au Royaume-Uni, on estime que les retards de traitement ont entraîné entre 281 et 344 décès supplémentaires dus au cancer du sein, entre 1 445 et 1 563 décès dus au cancer colorectal et entre 1 235 et 1 372 décès dus au cancer du poumon.) L'accès rapide aux traitements médicaux n'est pas un luxe ; c'est une nécessité que les politiciens et les responsables de la santé canadiens n'ont apparemment pas comprise. Lire le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 12/14
Les aînés canadiens meurent à un rythme alarmant de causes non liées à la COVID-19 : après l’administration du vaccin contre la COVID-19 en 2021, le nombre d’aînés canadiens décédés d’une maladie coronarienne (ou cardiopathie ischémique) était 10,3 % supérieur au nombre normal et attendu. On a enregistré 6 600 décès « excédentaires » supérieurs à la normale en 2022 et 2023. De même, le nombre d’aînés canadiens décédés de maladies du système digestif en 2022 et 2023 était 9,5 % supérieur aux prévisions. On a enregistré plus de 1 400 décès « excédentaires » supérieurs à la normale après l’administration du vaccin contre la COVID-19 en 2021. Les maladies coronariennes et les maladies du système digestif sont des effets secondaires avérés des vaccins contre la COVID-19. On a également constaté une hausse considérable des décès dus aux chutes chez les personnes âgées, avec environ 670 décès inattendus chez les Canadiens de 65 ans et plus en 2022. Une étude sur les effets secondaires du vaccin à ARNm a révélé que « le risque de chute chez les personnes âgées est particulièrement élevé, car de nombreux patients présentaient des symptômes d'essoufflement, de fatigue, d'étourdissements et de déshydratation ». En bref, plus de 8 000 décès inattendus chez les Canadiens de 65 ans et plus en 2022 et 2023 semblent être liés au vaccin contre la COVID-19. Cela justifie une enquête plus approfondie. Consultez le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 13/14
Malgré ces conclusions, les politiciens et les responsables de la santé publique canadiens restent silencieux : les responsables de la santé publique canadiens semblent remarquablement indifférents à l'augmentation significative des décès inattendus dans les années post-Covid, après les confinements et les obligations vaccinales. Ils continuent d'insister sur le fait que la Covid constituait une menace sans précédent pour la santé publique et a causé des taux de mortalité inhabituellement élevés, mais les données de Statistique Canada disent le contraire. La Covid a été largement exagérée et ne peut expliquer les milliers de décès supplémentaires parmi les catégories non liées à la Covid ci-dessus. Ces milliers de décès non liés à la Covid ne devraient pas être balayés sous le tapis. Les données de Statistique Canada appellent les représentants élus ainsi que les responsables de la santé publique à enquêter sur les raisons pour lesquelles tant de Canadiens sont morts après l'imposition des obligations vaccinales, et pourquoi les taux de mortalité au Canada – en particulier chez les enfants et les jeunes Canadiens – ne sont pas revenus à leurs niveaux inférieurs d'avant la Covid et le confinement. Lisez le rapport complet ici : https://t.co/fhh9QeZiD9 Pour soutenir le travail du Centre pour la justice dans l'élaboration de rapports comme celui-ci, veuillez envisager de faire un don déductible des impôts à : https://t.co/j3kmAxnuY1. 14/14